Cela va de la contrariété, car « je ne retrouve pas un livre que je cherche depuis 10mn » à la « sainte colère » car « on vient de porter atteinte à mes biens ».
La colère a mauvaise réputation, on l’amalgame à la violence.
Pourtant, elle libère une foule d’hormones, dont l’adrénaline, qui favorisent une action en vue d’un changement.
De plus, elle indique que les limites
de l’acceptable sont atteintes.
♦ Pour éviter de déverser une colère dévastatrice sur l’autre, déchargez votre colère sur autre chose : un punching-ball, en faisant un footing, ou avec ce petit papier ci-dessous.
A vous de trouver votre défouloir.