Autre fléau de notre société : exister selon ce que l’on possède.
Être dans l’abondance. La publicité et la mode nous y poussent, et pourtant, posséder ne rend pas heureux ou sur une très, très courte période.
À l’autre extrême, il y a la privation, la pauvreté, l’indigence. État qui ne donne pas très envie ! Nos ados y sont particulièrement sensibles.
Entre abondance et pauvreté, il y a une belle zone à découvrir et exploiter : la satisfaction et l’appréciation de ce que l’on a.
2 minutes pour… apprendre
Et si aujourd’hui, je retardais un achat, pour mieux l’apprécier !